La clinique Saint-Pierre d'Ottignies par Pierre Goossens
La clinique Saint-Pierre d'Ottignies, du Chenoy au Petit-Ry, une courte distance mais un long chemin
Pierre Goossens, licencié en sciences économiques pures et en sociologie de l'UCL, a effectué la plus grande partie de sa carrière professionnelle aux Mutualités Chrétiennes. Passionné par la généalogie et histoire locale, il a publié plusieurs articles dans la revue Wavriensia du Cercle d'Histoire, d'Archéologie et de Généalogie de Wavre.
La Clinique Saint-Pierre, du Chenoy au Petit-Ry, conte 50 ans de la vie de cette institution, bien connue des habitants du Brabant wallon, depuis sa création en aout 1937 jusqu'à son développement dans les années quatre-vingt du siécle passé, en passant par la construction d'un nouveau bâtiment au début des années septante.
L'auteur a pu consulter de nombreux documents archivés aux AGR, à l'UCL ou à la clinique même. Il s'est entretenu avec plusieurs médecins ayant travaillé dans l'ancien bâtiment et/ou dans le nouveau, avec des membres de leur famille, avec des anciens administrateurs de l'ASBL gérant la clinique, et avec d'anciens membres du personnel.
Il contextualise plus d'une fois les problématiques discutées au sein des organes gérant la clinique. Plus d'une fois, il montre que histoire est un éternel recommencement.
Son récit, étonnant à plus d'un titre, peut faire penser que l'avancée du projet de nouvelle clinique eut lieu à plusieurs moments grâce à l'alignement parfait des planètes, et que l'aboutissement a tenu un peu du miracle.
Le lecteur découvrira des femmes et des hommes qui, malgré leurs divergences, avaient un point en commun : offrir à toute la population un accès à des soins de qualité. Ils y mirent toute leur énergie, toute leur compétence et tout leur coeur.
Cet ouvrage est édité par le Cercle d'Histoire, d'Archéologie et de Généalogie d'Ottignies-Louvain-la-Neuve (CHAGO), dont les archives ont permis de compléter le récit par de nombreuses références à l'histoire et aux personnalités locales.
- Format: A5
- ISBN: 978-2-9602550-3-4
- Pages: 365
- Prix: 25,00 €
L'église Saint-Pie X au Petit-Ry par Edgard Vergucht et Jean Bidoul
Dans la collection les carnets du CHAGO...
Le Petit-Ry (au sens de cette brochure), une centaine d'hectares consacrés exclusivement a l'agriculture jusqu'en 1950, s'étend depuis la ferme de Balbrire (belle bruyère), déjà citée en 1260, jusqu'à l'antique chemin de Wavre à Genappe et la rue du Petit-Ry.
Pour répondre aux besoins de l'après-guerre, it est classe « zone résidentielle » en 1948.
La Société Nationale de la Petite propriété Terrienne, dont le secrétaire général René Jurdant habite Ottignies, y construit plus de 300 logements.
D'autres promoteurs ont ensuite utilisé les terrains disponibles pour bâtir des maisons unifamiliales.Avec son église à l'architecture innovante (1965), son école fondamentale (1960) avec près de 400 élèves en 2022, sa vie culturelle et sociale de qualité, sa dynamique association, il s'agit d'un endroit très apprécié par les résidents.
Cette brochure, éditée à l'occasion des Journées du Patrimoine qui mettent à l'honneur l'église Saint-Pie X, se veut la description exhaustive du quartier sous tous ses aspects.- Format: A5
- ISBN: 978-2-9602550-2-7
- Pages: 52
- Prix: 8,00 €
Céroux, sa place et son église par Cécile LUCAS
Dans la collection les carnets du CHAGO...
Au milieu du XIX e siècle, les habitants de Céroux, privés de lieu de culte décent depuis des décennies, obtiennent enfin qu'un nouvel édifice soit bâti en remplacement de l'ancienne chapelle Sainte-Catherine (1675-1680), totalement délabrée.
L'architecte provincial, Antoine MOREAU (1791-1872), est désigné en qualité d'auteur de projet. Il inaugure une forme de bâtir aux pouvoirs fédérateurs dans le contexte des suites de l'indépendance de la Belgique : le style néogothique.
D'humbles artisans de proximité participent aux travaux de parachèvement tandis que l'ameublement est confié à des sculpteurs de renom : les frères Henri et Joseph Alexis GOYERS de Louvain. Ces véritables «globe-trotters », créateurs de la firme Goyers Frères spécialisée dans le mobilier religieux, interviennent dans un grand nombre d'églises, tant en Belgique qu'en France et aux Pays-Bas, et participent à de nombreuses expositions universelles.Le Maître-autel, médaillé à l'exposition universelle de Paris en 1855, et la chaire de vérité (1864-1865) témoignent entre autres du talent de ces ébénistes d'exception. Orgue des Frères GHEUDE de Nivelles. Vitraux d'art du choeur, oeuvre de l'atelier du maître-verrier Jean WYSS (1883-1960) à Bruxelles, vitrail don d'HERGÉ et de sa première épouse G. KIECKENS installés, dès 1953, au hameau de Ferrière tout proche.
- Format: A5
- ISBN: 978-2-960-25504-0
- Prix: 8,00
La Ferme du Douaire à Ottignies par Cécile LUCAS
Dans la collection les carnets du CHAGO...
Premier ouvrage publié chez CHAGO Éditions
Autrefois paisible localité agricole du Brabant, sur la Dyle, en bordure du plateau hesbignon, Ottignies a découvert l'industrie et le chemin de fer au milieu du 19° siècle avant d'accueillir, en 1971, la section francophone de l'Université catholique de Louvain, chassée de son lieu de naissance par le 'Walen buiten' et devenue Louvain-la-Neuve.
Si la plupart de ses fermes importantes, conservées en majorité, relevaient d'établissements monastiques, comme celle du Biéreau et de Lauzelle, d'autres appartenaient à des seigneuries distinctes. C'est le cas du Douaire, un fort-manoir à la limite de Mousty détenu à l'origine par les Limelette et passé par héritage aux d'Ursel, d'Udekem et Orban de Xiviy en développant au fil des siècles une activité agricole importante dont témoignent une ferme en carré de type brabançon, des 17,18° siècles, dotée aux meilleurs jours d'une centaine d'hectares, terres et prés confondus.
Rachetés par la commune au départ du dernier exploitant en 1972, les bâtiments, heureusement classés, ont subi une longue période de restauration avant de voir la Ville leur attribuer une affectation culturelle avec l'ouverture d'une Bibliothèque publique, d'une Ludothèque et d'un Centre culturel.
Né sur place il y a plus de 25 ans, le Cercle d'histoire local a récemment réinvesti les lieux. Les dernières Journées du Patrimoine, en septembre 2019, ont vu évoquer en exposition la riche histoire de la ferme, par l'image et le texte.
- Format: A5
- ISBN: 978-2-9602550-0-3
- Pages: 52
Filature Van Hoegaerden-Boonen 1824-1982 par Jean Bidoul
- Numéro spécial Okgni
(2016)
Filature Van Hoegaerden-Boonen 1824-1982
La longue histoire de celles et ceux qui filaient du bon coton... - Format: A4
- Pages: 60
- Prix: 12 €
La filature de Mousty est l’établissement industriel le plus ancien de la région d’Ottignies. Il fut aussi, avec les aciéries Henricot, pendant de nombreuses décennies, le plus important et le plus apprécié.
Elle a fermé ses portes en 1982, mais son histoire n’a fait l’objet d’aucune publication. C’est ce que le Cercle d’Histoire a tenté de corriger, après avoir rencontré les principaux acteurs encore en vie et consulté les archives des familles propriétaires, Van Hoegaerden et Boonen.
Balade dans OTTIGNIES et ses villages par Muriel VANDOMMELE
Balade dans OTTIGNIES et ses villages d'hier à aujourd'hui
- Format: 22 x 22 cm
- ISBN: 978-2-930695-03-7
- Prix: 10 €
Balade dans Ottignes-Louvain-La-Neuve d'hier et d'aujourd'hui" nous dévoile d'anciennes cartes postale parfois inédites, associées à des vues actuelles et nous fait revivre la nostalgie du passé tout en montrant l'évolution rapide et moderne de la Ville.
Ottignes semble exister depuis l'époque carolingienne. Longtemps village isolé dans une économie rurale fermée, l'urbanisation s'y développe à partir de 1850 avec l'ouverture d'une chaussée pavée et la construc-tion du chemin de fer.
Accompagnant l'essor industriel, des usines s'établirent le long de la Dyle attirant une main d'oeuvre impo; tante qui s'installa à proximité des gares.
A côté des agriculteurs et des ouvriers, la modernisation du rail et de l'automobile permit à de nombreux navetteurs de venir s'implanter dans la ville, attirés par le noeud de communication important que représente Ottignies. L'arrivée de la section francophones de l'UCL en 1971, et la fondation de Louvain-La-Neuve, d'une part et la fusion des communes, d'autre part donne à la Ville sa structure actuel
En un siècle, le paysage social de la Ville fut ainsi bouleversé. Ottignes-Louvain-La-Neuve est le résultat de cette profonde mutation.
Aujourd'hui, Ottignes-Louvain-La-Neuve, ville à la campagne, harmonise avec bonheur un ouest rural préservé et un orient urbanisé accueillant habitants, étudiants et entreprises dont la recherche et la notoriété dépassent de loin nos frontières. Au milieu, la Dyle continue de couler imperturbablement.
Croix et Chapelles à Ottignies-Louvain-la-Neuve par Paul BAUWIN
Croix et Chapelles à Ottignies-Louvain-la-Neuve au travers de 7 circuits touristiques
Paul BAUWIN (2001)- Format: A4